Faut-il oui ou non changer le nom du parti ? Un sujet récurrent à droite. 1976 : l'UDR devient le RPR sous l'impulsion de Jacques Chirac. En 2002, le même Jacques Chirac transforme un RPR vieillissant en UMP, grand parti de la droite et du centre droit. Douze ans plus tard, cette dernière vit-elle ses dernières heures ? Nicolas Sarkozy a déjà tranché : il ne plus veut entendre parler d'une grande UMP. L'intérêt serait double pour lui : faire table rase du passé et asseoir symboliquement son leadership sur sa famille politique. Les deux autres candidats à l'élection de la présidence du parti, Hervé Mariton et Bruno Le Maire, y sont opposés. Alain Juppé, challenger de Nicolas Sarkozy pour 2017, n'y est pas favorable.
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