Philae a pu “renifler” des molécules organiques dans l’atmosphère de la comète Tchourioumov-Guérassimenko.
C’est le terme employé par l’agence spatiale allemande qui précise que c’est le chromatographe du petit robot qui a pu détecté les première molécules organiques après l’atterrissage de Philae.
L’analyse des données est actuellement en cours mais une des principales missions de la sonde est justement de tenter d’identifier des molécules organiques complexes qui seraient à l’origine du vivant.
Après 57 heures sur la comète, le petit robot s’est mis en veille, dans la nuit de vendredi à samedi, et les scientifiques espèrent que Philae pourra à nouveau communiquer avec la terre au printemps prochain.