François Asselineau invité de Loïc Barrière sur Radio-Orient - 27/10/14

2014-11-01 58

Entretien réalisé le 27 octobre 21014 dans l’émission "Pluriel", animée par Loïc Barrière sur Radio-Orient.
Radio Orient est une station de radio française qui émet depuis Clichy et qui est diffusée dans toute la région parisienne, Annemasse, Beauvais, Bordeaux, Limoges, Lyon, Nantes, Nice, Nîmes, Toulon et Besançon. Elle a été créée en 1982 par Raghid el Chammah dans la vague des radios libres suivant l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République. C’est sous le titre de « Regroupement des Radios Musulmanes de France » qu’elle fut d’abord tolérée, puis finalement autorisée le 7 août 1987, par la CNCL (Commission Nationale de la Communication et des Libertés) sur la fréquence initiale de 88,6 MHz.

L'UPR est le mouvement de libération national qui veut rendre aux français leur Démocratie par le rassemblement de tous, quelles que soient leurs origines et confessions religieuses.
Sortons de l'UE et ouvrons nous sur le monde.
Sortons de l'euro et retrouvons notre monnaie nationale ainsi que la maîtrise de notre économie.
Sortons de l'OTAN et reprenons en main la défense de notre pays.

François Asselineau, Union Populaire Républicaine
UPR, l'union du peuple pour rétablir la Démocratie
http://www.upr.fr/
Facebook: https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau?fref=ts

L'UPR est le seul mouvement politique à proposer -- et à inscrire dans ses statuts -- qu'il n'est possible de commencer à redresser la France que sur la base de trois orientations essentielles :

1) dénoncer tous les traités européens, y compris le traité de Rome ,

2) refuser le concept même de « construction européenne », avec ses sempiternelles promesses « d'autre Europe » ,

3) inscrire dans la Constitution française l'interdiction de toute délégation de souveraineté qui ne serait pas bornée à des sujets très précis, limités dans le temps et dans leur objet, et régis par des traités internationaux fondés sur la réciprocité et l'égalité entre États.

Charte fondatrice: http://www.upr.fr/charte-fondatrice

L'article 50 du traité sur l'Union européenne

1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l'Union.

2. L'État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l'Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l'Union. Cet accord est négocié conformément à l'article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. Il est conclu au nom de l'Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.

3. Les traités cessent d'être applicables à l'État concerné à partir de la date d'entrée en vigueur de l'accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l'État membre concerné, décide à l'unanimité de proroger ce délai.

4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l'État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l'article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne.

5. Si l'État qui s'est retiré de l'Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l'article 49.

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