Jean-Charles Simon est revenu sur les scénarios des "stress tests" effectués par la BCE pour évaluer la solvabilité des banques en cas de crise. Il estime que "le film d'horreur apparaît relativement doux". Sur la chute du PIB, "on est a peu près partout à - 1,5 %, soit deux fois moins par rapport à la crise de 2008". Concernant l'augmentation des taux d'intérêt, "on est à 3,8 % pour la France alors qu'on est passé à 4,8 au moment de la crise". - Good Morning Business, du 29 octobre, sur BFM Business.