Sept cadres ou ex-cadres dirigeants du groupe européen EADS et de sa filiale, Airbus, ainsi que les sociétés Lagardère et Daimler, actionnaires d'EADS à l'époque des faits, en 2005 et 2006, sont soupconnés de délits d'initiés par le tribunal correctionnel de Paris. Le procès s'ouvre aujourd'hui.