Cinq mois après avoir obtenu la confiance de l'Assemblée nationale, Manuel Valls répète l'exercice mardi pour reprendre la main après une rentrée catastrophique, avec le grand risque de n'obtenir qu'une majorité étriquée. Le gouvernement s'il n'est a priori pas en danger, va scruter à la loupe les résultats de ce vote de confiance avec en tête le seuil de 33 qui correspond au nombre de frondeurs abstentionnistes lors du vote de la loi de finances sur Sécurité sociale, le 8 juillet dernier.