"On ne peut pas dire à l'État de maîtriser ses finances et ne pas maîtriser les nôtres. Ce serait le paradoxe absolu" avertissait le trésorier de l'UMP, lors de sa prise de fonction en 2010. 4 ans plus tard, le parti -chantre de l'orthodoxie budgétaire- affronte de sérieux revers financiers.