Deux mois et demi après l’enlèvement de plus de 200 lycéennes au Nigeria, le gouvernement affirme avancer petit à petit vers leur sauvetage. Les 276 adolescentes ont été kidnappées en avril par le groupe islamiste extrémiste Boko Haram dans la ville de Chibok. Une cinquantaine d’entre elles ont réussi à s’enfuir. Mais les autres sont toujours portées disparues.
Le porte-parole du gouvernement fédéral, Mike Omeri a affirmé mercredi qu’un des commandants clés qui fournit des informations à Boko Haram avait été appréhendé. “Ainsi, quelque chose a été fait. Nous progressons, nous progressons vers notre but”.
De quoi donner un peu d’espoir aux manifestants à Abuja, réunis sous le slogan qui a fait le tour du monde “Bring back our girls”, “Ramenez nos filles”.
Avec AFP, AP et Reuters