A l'issue des combats et des batailles opposant l'armée française aux troupes allemandes, les Français ont fait des dizaines de milliers de prisonniers entre 1914 et 1918.
Dans le cadre des conventions internationales et par humanisme, et dans l'espoir d'une réciprocité, les autorités françaises les ont soignés et traités convenablement.
Ces prisonniers ont été toutefois contraints, comme leurs homologues français en Allemagne, de travailler dans l'agriculture et donc pour l'économie française.
Ce dernier fait a largement été oublié dans la mémoire nationale de la Grande guerre. Il s'agit donc ici de rappeler cette réalité à travers l'exemple de Dinan et de rendre vie à ces oubliés.
Réalisation 1ère S 5 lycée La Fontaine-des-Eaux, 22100 Dinan ; sous la direction de Gilles Bourrien, professeur d'histoire.
Label centenaire de la Première guerre, 2014.
Pour en savoir plus :
http://bretagne-et-oublis.monsite-orange.fr/
