Le ministre de l'Education nationale, Benoît Hamon, a répondu à la polémique sur la difficulté de l'épreuve de maths au baccalauréat, contre laquelle plus de 40.000 pétitions ont signé une pétition. "Soit les sujets sont trop faciles, soit ils sont trop difficiles!", répond Benoît Hamon, qui rappelle que des "commissions d'harmonisation tiendront compte de la difficulté de l'épreuve" dans la correction.