Grogne chez les cheminots et les intermittents : l'exécutif est-il laché par sa base ?
2014-06-12
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Grève du 22 mars : "Cette mobilisation a été une réussite, notamment chez les cheminots. Monsieur Macron a voulu passer en force. J'espère qu'il va avoir un os", estime Eric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis #8h30politique
Grève à la SNCF : "Je ne pense pas que les cheminots aient la tentation de perturber les vacances des Français. Les Français nous en voudraient très longtemps (...) Les cheminots sont des gens responsables", Guillaume Pepy sur #franceinfo
Grève à la SNCF : Les organisations syndicales de cheminots demandent le "remboursement des usagers à hauteur de 40 % minimum" en raison des perturbations sur le trafic, annonce Laurent Brun, de la CGT Cheminots
SNCF : "Depuis lundi, mes collègues sont victimes d'insultes, de répliques violentes. Le Premier ministre n'a pas mesuré à quel point en stigmatisant ainsi le statut des cheminots, il stigmatisait les cheminots tout court", juge Bruno Poncet #TEP
"Le statut des cheminots n’est pas la raison de la dette de la SNCF. On peut y toucher, il n’y a pas de tabou (…) Mais faire croire que c’est le statut des cheminots qui est à l’origine de la dette de la SNCF, c’est un mensonge", selon Marine Le Pen
Syndicats reçus le 7 mai par Edouard Philippe : "On ne baisse pas la garde, on ne lève pas la pression. Si nos attentes ne sont pas satisfaites, il y aura une journée sans cheminots le 14 mai", prévient Didier Aubert, de la CFDT Cheminots
Grève des cheminots : "On se tape les cheminots. Il ne faut pas s’étonner que cela provoque cette réaction" explique Laurent Berger
Fin du statut des cheminots : "Je ne suis pas là pour faire de la politique. Je pense qu'on ne peut pas accepter que certains aient envie de stigmatiser les cheminots dans la période", réagit Guillaume Pepy, patron de la SNCF
Si on ne touche pas au statut de cheminot, "j’imagine que la fédération cheminots-CFDT ne poursuivra pas la grève" affirme Laurent Berger, qui ajoute : "On est le 16 mars, ça laisse 15 jours, trois semaines, pour discuter, discutons."
Polémique autour d'un mail envoyé par un cheminot membre de la CGT "Monsieur Pépy met de l'huile sur le feu (...) Accuser les cheminots de vouloir saboter leur entreprise, c'est très grave"