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Discours du Président de l’ANACR 2B Sixte Ugolini
Après la journée de la déportation, le dernier dimanche d’avril et avant la Commémoration de l’appel du 18 juin, acte fondateur de la résistance Française, nous rendons hommage, aujourd’hui de façon officielle, à tous ceux qui, par leur engagement volontaire dans la Résistance, firent le sacrifice de leur vie, et je pense à cet instant à Jean Nicoli, Fred Scamaroni, Dominique Vincetti, Griffi, Verstrate le belge et bien d’autres, mais aussi à tous ceux qui combattirent à leurs côtés et aujourd’hui disparus et je pense avec émotion à Pierre Orsoni et Jean Baptiste Fusella qui m’ont précédé à la présidence de l’ANACR. Ils seraient heureux de savoir qu’enfin, la Résistance est honorée par la Nation. Mais je n’aurais gare d’oublier tous ceux, encore présents parmi nous, qui prirent le risque de leur vie pour libérer le pays profané par la domination nazie et pour donner à la France, notre pays, des institutions politiques démocratiques et solidaires qui, aujourd’hui encore, constituent le socle de la République.