Une élève dans un lycée de La Rochelle avait été agressée sexuellement en septembre 2013. Plus de 500 prélèvements ADN avait été effectués mi-avril dans l'enceinte du lycée pour tenter d'identifier le violeur de la jeune fille parmi les élèves. Le procureur de la République à La Rochelle a déclaré, mercredi, que l'analyse de ces prélèvements réalisés dans le lycée n'ont finalement rien donnés. Elle affirme cependant qu'il "reste des prélèvements à analyser et d'autres à effectuer".