Le business de l’adultère et de l’infidélité est en pleine expansion sur internet. Des sites comme Gleeden, PrendUnAmant ou Ashley Madison sont même spécialisés dans les rencontres pour hommes et femmes mariés. Pendant de nombreuses années, les motifs de divorce ne prenaient pas en compte l’adultère numérique, ce n’est plus le cas depuis le 30 avril 2014. La Cour de Cassation a statué que la fréquentation de sites de rencontres est un manquement grave et renouvelé aux obligations et aux vœux du mariage.