Seulement quelques jours après leur reportage truqué stigmatisant les jeunes noirs, Paris-Match refait des siennes.
"Dans son édition du 5 avril, Paris Match publie un article dont le titre affirme que les Antillais sont considérés comme des bouffons par les Africains car les premiers n’ont pas de parents Africains" (source).
un genre de ’Antillais/Africains : le choc des civilisations’... ?
Paris-Match relance le mythe des "100%vendeurs contre 100%vendus" (la question de l’acheteur, que dis-je, du voleur reste écartée bien-sûr).
En bons aristoblancs, Paris-Match s’étonne soi-disant que nous ne nous définissions pas comme des nègres, par opposition aux Blancs ( c’est étonnant hein de ne pas se rassembler uniquement par couleur ). Au jeu des sous-entendus ils nous expliquent que nous devrions nous "penser" comme des noirs, comme des non-blancs, et que c’est pour ça que le noir est responsables d’avoir fait trop d’affaire pendant 400ans (on se demande où est passé le bénéf, car l’Afrique ne s’est jamais autant appauvrie que pendant ces 400ans...).
La preuve attendue de tout ça ? A terme, nos réactions de colère Antillais vs Africains (et vice versa) suite à ces articles. (Et voilà, vous voyez ? Kesk’on vous disait !) Pendant que tous les bons Hongrois de souche constaterons simplement l’incompatibilité d’une telle présence génétique sur leur cher sol français. Dans la bagarre on oubliera de noter une fois de plus QUI a organisé tout ça. C’est discrètement envoyé, innocemment bien-sûr, et même "bien intentionné"... Je rappelle que Sarközy a fait remplacer le directeur de Paris Match l’année dernière : a priori pour mettre un de ses fidèles.
Amis Antillais, amis Africains, ces journaux qui vous veulent du bien ont besoin de votre argent, continuez à les financer...