Malgré la crise et un chômage à 26% - et plus de 50% chez les jeunes - l'extrême-droite reste marginale en Espagne. Divisée, en partie absorbée par le Parti populaire actuellement au pouvoir, elle n'espère pas obtenir le moindre siège d'eurodéputé lors des élections de la fin mai, où elle devrait obtenir des scores très éloignés de ceux du Front National français. Durée: 02:09