Aujourd’hui, grâce aux technologies numériques, l’accès aux biens culturels s’est profondément démocratisé. L’offre est devenue pléthorique, mais surtout les contenus sont désormais accessibles partout, 24h sur 24 et 7 jours sur 7, sur une multitude de supports (téléphones mobiles , tablettes, PC , lecteurs MP3 et MP4, téléviseurs).
Bien mieux encore, il est désormais possible de faire communiquer entre eux ces différents supports, permettant par exemple de transférer des contenus depuis sa tablette vers son téléviseur, lui-même étant connecté au web .
L’avènement des réseaux sociaux a encore amplifié ce mouvement d’abondance en permettant très facilement de partager ses œuvres préférées, ses playlists et même ses propres créations.
Mais l’univers de l’accès aux œuvres culturelles en ligne ressemble un peu à une jungle : là où certains parlent de « piratage », les autres brandissent l’argument du « partage » et de la démocratisation de l’accès.
Alors, comment partir à l’abordage de ces trésors du 7éme Art et de la « Zik » : en habit de pirate ou en corsaire du Roy ? Que faire des trésors qui circulent sur l’océan du web : les entreposer dans les cales du bateau, ou dans des comptoirs lointains ? Qui a le droit d’en profiter : moi uniquement, mes proches, ou le monde entier ?