Le grand rocher emblématique est toujours là.
Tous les pensionnaires, mille animaux de 180 espèces différentes, ont rejoint leurs nouveaux enclos après plus de 6 ans d’absence.
Vétuste, il a fallu trois années de travaux à hauteur de 170 millions d’euros pour réhabiliter le zoo parisien, et l’inscrire dans le respect du bien-être animal.
Sophie Ferreira-Le Morvan, directrice du Zoo de Vincennes: “C’est le visiteur qui, invité au pays de l’animal, est immergé au sein du milieu naturel des animaux. Et donc, tout le travail et tout le concept a été basé sur la reconstitution, ou l‘évocation, en tout cas, des milieux naturels des animaux.”
Ainsi, cinq biozones ont été aménagées : Patagonie, Sahel-Soudan, Guyane, Europe et Madagascar.
Les visiteurs pourront aussi découvrir des espèces menacées comme des lémuriens ou un rhinocéros blanc.
Tous les pensionnaires du Zoo de Vincennes proviennent d’autres établissements dans le cadre d‘échanges au niveau mondial pour conserver une diversité génétique.