On va remettre les pendules à l'heure

2014-03-23 264

Il y a l’espace de ce qui a été et qui ne sera plus et l’espace du souvenir. Entre les deux, le sentiment de l’absence. Le film évoque le voyage dans le temps, il crée une hétérotopie. Un espace qui héberge l'imaginaire, la cabane d'enfant dans laquelle retrouver l’être disparu. Filmée en train de regarder sa grand-mère, l’artiste mime la connexion qui n’est plus et qu’elle ne retrouve que fictivement désormais. En jouant à ce jeu qui ne marche pas, elle se confronte à son propre deuil.