1 - L'INDUSTRIE DE LA MUSIQUE DU DIABLE EXPOSÉE - Partie 1 (VOSTFR)

2014-03-21 48

MUSIQUE du mot muse : Pure sheytanerie Dans le sens ancien et primitif, la musique n'était pas une science particulière, c'était tout ce qui appartenait aux Muses ou en dépendait ; c'était donc toute science et tout art qui apportait à l'esprit l'idée d'une chose agréable et bien ordonnée. Chez les Égyptiens, suivant Platon, la musique consistait dans le règlement des moeurs et l'établissement des bonnes coutumes. Selon Pythagore, les astres dans leurs mouvements forment une musique céleste. Il nous reste de saint Augustin un traité de la Musique où il n'est question que des principes et des conditions des vers.



=>MUSE : À l'origine (selon Pausanias), elles étaient trois : Aédé (le « chant », la « voix »), Mélété (la « méditation ») et Mnémé (la « mémoire »). Ensemble, elles représentent les pré-requis de l'art poétique dans la pratique du culte.À Delphes, elles portent le nom des trois premières cordes d'une lyre : Aigüe (Nété), Médiane (Mésé) et Grave (Hypaté).Cicéron en compte quatre : Thelxinoé, Aédé, Arché et Mélété.La tradition leur attribuait deux résidences : une sur le mont Parnasse, l'autre sur l'Hélicon.C'est Platon (dans Ion) vers 401 av. J.-C., puis les néo-platoniciens, qui font des neuf Muses les médiatrices entre le dieu et le poète ou tout créateur intellectuel. Cette conception de l'art (le poète est possédé, transi par le dieu)

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