En dépit de risques évidents pour la santé, certains Japonais choisissent de revenir à quelques kilomètres de la centrale, notamment pour s'occuper des bêtes restées dans la zone interdite au public. Vu les taux radioactifs enregistrés si près du site de la catastrophe, il n'est pas possible de rester plus de quatre heures sur la zone d'intervention et une autorisation spéciale est délivrée par les autorités. Le Japon s'apprête à commémorer le séisme sous-marin d'intensité 9, le tsunami et l'accident nucléaire survenu le 11 mars 2011 à Fukushima dans le nord-est du Japon. La catastrophe a fait 15.884 morts et 2.636 disparus.