Le professeur Laurent Lantieri, chirurgien spécialisé des greffes à l'hôpital parisien Georges-Pompidou, estimait ce mardi, après la mort du premier patient greffé avec un coeur artificiel, que la recherche sur les organes artificiels allait continuer, car "on manque d'organes". Pour le praticien, c'est même "la solution".