L'homme interpellé mardi dans le cadre de l'enquête sur la tuerie de Chevaline pourrait être un trafiquant d'armes anciennes. Plusieurs armes anciennes ont été découvertes chez lui mardi lors d'une perquisition. En France, on estime que de nombreux collectionneurs contourneraient la loi en ne déclarant pas toutes les armes qu'ils possèdent. Le trafic d'armes peut être puni de 7 ans de prison et 100.000 euros d'amende.