Même s’ils ont célébré avec ferveur leur liberté retrouvée après avoir renversé le régime de Mouammar Kadhafi en 2011, les Libyens sont confrontés à des défis majeurs : une profonde crise politique et une insécurité persistante.
Le Premier ministre Ali Zeidan les a appelés à faire preuve de volonté.
“Grâce à Dieu, la Libye est un pays heureux. Mais maintenant, on doit améliorer la sécurité, on doit stabiliser et surtout assurer notre développement économique”, explique cet homme à Tripoli.
Plongé dans l’anarchie et le chaos, le pays est en proie à une crise politique sans précédent. Le parlement libyen promet des élections “dès que possible” alors que sa décision controversée de prolonger son mandat au-delà du 7 février a provoqué une vive contestation