Depuis cinq mois, je suis sur le terrain pour épauler nos candidats aux élections municipales, comme un militant parmi les militants. Toute cette semaine, j'ai traversé les villes et les villages de France: Paris, Cahors, Saint-Julien-en-Genevois, Annemasse, Saint-Etienne, Montbrison, Veauché, Grenoble, Bourgoin-Jallieu, Rennes, Janzé... Pour moi, la République est un tout. Il n'y a pas de petites villes et de grandes villes, il n'y aura pas de petites victoires et de grandes victoires ! Je vais partout où les candidats de ma famille politique sollicitent mon soutien, partout où je puis rappeler que la démocratie locale se mêle aux défis que doit relever notre pays.
A l'issue de cette semaine, je sens une forte mobilisation des électeurs de la droite et du centre; je sens une profonde contestation populaire à l'égard de la majorité socialiste; et je pressens un besoin d'alternance dans beaucoup de villes. En réaction à la dureté de la crise économique et morale et à l'échec du gouvernement, la France se radicalise et notre rôle est d'offrir aux électeurs une alternative utile au pays. Dans ce contexte, l'élection municipale va prendre une importance politique nationale considérable.
Nous devons faire de l'élection de mars prochain, comme de chaque élection jusqu'en 2017, un tremplin pour imposer un changement de politique et pour créer les conditions du redressement national.
Le 1er acte se jouera les 23 et 30 mars !
D'ici là notre mobilisation doit se poursuivre.