Près de trois ans après la "révolution de jasmin", les parlementaires tunisiens ont adopté dimanche la nouvelle constitution du pays. Le pouvoir exécutif est désormais partagé par deux têtes, la place accordée à l'Islam est réduite et la notion de parité en politique, introduite. Dans la foulée, une proposition de gouvernement composé d'indépendants a été remise au président.