Les pourparlers de paix pour la Syrie sont partis sur de mauvaises bases vendredi à Genève. L'émissaire de l'ONU chargé du dossier syrien n'a pas réussi à réunir dans la même pièce les représentants de Damas et ceux de l'opposition. Les deux parties syriennes, qui refusent pour l'instant de dialoguer, ont encore une semaine pour s'entendre à Genève. L'ONU parie sur la patience pour y arriver.