La saison 2014 de F1 débutera le 16 mars en Australie. D’ici là les écuries vont peu à peu présenter leurs nouvelles machines. Force India et McLaren ouvriront les hostilités respectivement les 22 et 24 janvier. Ferrari organisera son grand show le lendemain, samedi 25 janvier, à 14h30. La cérémonie sera retransmise sur internet et on y découvrira la F14 T, ou F14 Maranello, ou F14 Scuderia, ou pourquoi pas F166 Turbo ou F616. La Scuderia a en effet décidé de laisser les tifosis choisir le nom de la monoplace 2014. Choisir parmi une liste, évidemment, où l’on retrouve ces 5 noms.
Pour participer, il suffit de se rendre sur le site de Ferrari et de cliquer sur son nom préféré. Pour info, ouvert depuis le 15 janvier, le site a déjà récolté plusieurs centaines de milliers de votes provenant de plus de 180 pays. A ce jour c’est la dénomination F14 T qui tient la corde, devant F166 Turbo et F14 Scuderia.
Le nom définitif sera révélé la veille de la présentation de la voiture, soit vendredi 24 janvier. Le site dédié à la F1 permet aussi aux internautes de poser leurs questions à l’équipe de la Scuderia, Stefano Domenicali et les deux pilotes, Fernando Alonso et Kimi Raïkkonen. Ils répondront aux meilleures questions dans une vidéo qui sera diffusée lors du lancement de la voiture, samedi 25 janvier.
En attendant, Kimi Raikkonen a fait son retour au sein de la Scuderia Ferrari la semaine dernière. Il a participé à trois jours de préparation à Maranello. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le garçon a toujours le sourire très discret.
« C’est chouette de revenir ici, déclare-t-il. Je n’ai pas conduit ici depuis très longtemps, la dernière fois j’étais encore chez Ferrari. Mais c’est évident que c’est sympa d’être de retour et de revoir les gens qui étaient déjà là quand j’étais chez Ferrari, même s’il y en a aussi de nouveaux. »
Au volant d’une Ferrari FF, Kimi Raïkkonen s’est également livré sur les tifosis, son équipe de piste au sein de la Scuderia, la FF, qu’il conduisait pour la première fois, ou bien encore sur les difficultés de piloter une voiture qui sera radicalement différente de celles des années passées, pour cause de changement de réglementation.
« Mon sentiment c’est que les choses ne vont pas être aussi différentes que les gens le pensent. Je peux me tromper mais je pense que se sera simple. C’est sûr que c’est difficile pour les ingénieurs, pour les personnes qui doivent construire un nouveau moteur, une nouvelle boite de vitesses, sur ce plan-là , oui c’est dur, mais pour le pilote, ça ne va pas impacter tant que ça la façon de piloter. Il y aura de nouvelles choses à suivre, mais il faut attendre et on verra. Ce sera plus facile de répondre après les premiers essais. »
En attendant, vous pouvez visualiser l’ensemble de l’interview dans les différentes vidéos thématiques suivantes.
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