La disparition du mot "détresse" dans la loi sur l’interruption volontaire de grossesse était au centre des débats ce lundi à l’Assemblée nationale. La loi Veil, datant de 1975, stipule qu’une femme qui voudrait avorter doit être dans une situation de détresse soit, au sens médical, en dépression. Pour Axelle Lemaire, députée PS et auteur de l’amendement, cette précision semble obsolète.