Le président par intérim centrafricain, Alexandre-Ferdinand Nguendet, a appelé dimanche, les 100.000 déplacés, rassemblés aux abords de l'aéroport de Bangui, à rentrer chez eux. Il leur garantit la sécurité dans une ville où soldats français et africains poursuivent leurs opérations méthodiques de désarmement. Mais la tension est toujours grande entre chrétiens et musulmans.