Le gouvernement sud-soudanais accuse l’ex-vice président Riek Machar de mobiliser des milliers de jeunes miliciens pour attaquer ses positions.
Les hôpitaux peinent à faire face à l’afflux de soldats blessés dans les combats.
L’offre de cessez-le-feu du gouvernement rejetée par Riek Machar, reste néanmoins sur la table.
“Riek Machar a fait obstacle à cet appel sincère, en exigeant des préconditions, à savoir que le cessez-le-feu ne puisse être que le résultat d’une négociation.” a déclaré le vice-président James Wani Igga.
L’ONU a commencé à envoyer des renforts. Un premier contingent de 72 policiers originaires du Bangladesh qui servaient en République Démocratique du Congo sont arrivés vendredi à Juba.
La communauté internationale craint que les affrontements entre les deux camps ne dégénèrent en guerre civile.