Les deux membres des Pussy Riot, libérées en début de semaine, ont donné une conférence de presse à Moscou. Toujours très hostiles envers le président russe, Vladimir Poutine, qu'elles souhaitent toujours "chasser" du pouvoir, les activistes veulent désormais s'engager dans la lutte pour le droit des prisonniers. Mais excluent de s'engager clairement en politique.