Alors que la pétition visant la dissolution de la LICRA a atteint près de 130 000 signatures, pour Jean Bricmont cela n'est pas un objectif à poursuivre, pour deux raisons majeures :
- Tout d'abord par respect du principe de la liberté d'expression.
- Dieuxièmement car la dissolution de la LICRA n'empêcherait aucunement la fin du droit de ce type d'associations de se porter partie civile dans un procès.