Des tirs d'armes automatiques puis à l'arme lourde ont fait au moins 130 morts jeudi dans la capitale centrafricaine. Face a cette montée de violence entre les milices Séléka et anti-Bakala, le Conseil de sécurité des Nations unies autorisé la France à intervenir en appui aux forces panafricaines. Sur place, les habitants vivent dans la peur.