Le journal de la défense de novembre 2013

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Retrouvez l’intégralité du magazine TV « Journal de la Défense, mission défense » sur votre site internet. Ce journal tout en images inédites propose des reportages en immersion au sein des forces armées.

Les reportages du mois :

-L’entraînement sur simulateur Hawkeye. A Lann-Bihoué lorsque le porte avion Charles de Gaulle n’est pas en mer, les trois équipages opérationnels de la flotille 4F maintiennent leurs compétences grâce à deux simulateurs.

-Le métier de tireur d’élite. Vêtus de leurs tenues entièrement camouflées, un groupe de tireurs d’élite progresse dans le camp du Larzac. Et contrairement aux idées reçues, le tireur d’élite est un faux loup solitaire.

-La journée du poilu : la reconstitution historique 14-18. Le reportage est une invitation à un voyage culturel unique. En entrant dans le fort, les visiteurs découvrent une ambiance et une animation autour d’une soixantaine de soldats Poilus, Tommies, frères alliés.

-Le grand angle : L’exercice Joint Warrior en Ecosse. Au nord de l’Angleterre, les militaires français et britanniques s’entraînent à agir conjointement et rapidement, en coalition ou pour des opérations bilatérales de l’Otan, de l’Union européenne et des Nations-unies.

Pour ce numéro, l’équipe s’est expatriée. Les plateaux du « Journal de la Défense » ont été réalisés sur la base aérienne britannique de Leeming, qui a assuré le soutien d’un détachement aérien, composé d’Eurofighter Typhoon et de Mirage 2000N. Ce mois-ci, plein feu sur une coopération franco-britannique.


Encadré : Les coulisses du tournage de la journée de reconstitution historique 14-18.
« Pendant ces deux jours au Fort de Seclin, nous avons été immergés dans le quotidien des poilus. Ces passionnés de la Grande Guerre nous ont donnés l’impression de sortir tout droit de nos livres d’histoire. Ils sont attentifs au moindre petit détail de leur personnage et de leur uniforme, certains poussant la précision en se laissant pousser la moustache comme à la Belle époque. D’autres veillent à ce qu’il n’y ait pas d’anachronisme. Par exemple le temps de cette représentation, les fumeurs ont délaissé leurs traditionnels paquets de cigarettes, pour la pipe : sur le front les poilus fumaient essentiellement la pipe. Le rouge incandescent de la cigarette offrait aux tireurs ennemis une cible idéale. Une manière très ludique d’apprendre l’histoire. » Carine Bobbera, journaliste.

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