Xerfi-Precepta, L'industrie des fruits et légumes élaborés à l'horizon 2015

2013-11-12 20

Xerfi-Precepta vous présente son étude, " L'industrie des fruits et légumes élaborés à l'horizon 2015", dirigée par Isabelle Senand, directrice d’études Xerfi-Precepta
Pour en savoir plus sur cette étude, cliquez ici : http://www.xerfi.fr/Xerfifrance_xp.awp?P1=3IAA48
Xerfi-Precepta a publié une étude intitulée «l'industrie des fruits et légumes élaborés à l'horizon 2015 : innover pour échapper à la banalisation et valoriser l'offre ». Et une conclusion s'impose : les perspectives de croissance sont bonnes.

La demande progressera d'environ 2% par an en volume d'ici 2015. Il faut dire que l'environnement reste globalement porteur malgré la baisse du pouvoir d'achat des ménages.

1) Les fruits et légumes dits élaborés sont plébiscités. Et oui, les ménages se détournent progressivement des produits frais au profit des conserves, des surgelés ainsi que des fruits et légumes de 4e et 5e gammes.

2) L'aspect nutrition-santé des fruits et légumes est particulièrement bénéfique au marché. Mais n'oublions pas une réalité importante. La majorité des segments du marché est mature et dominée par les marques de distributeurs ou MDD. Les spécialistes des fruits et légumes doivent donc réagir. Réagir pour revaloriser leurs offres.


Autre conclusion importante : la concurrence va s'intensifier. Et oui, la progression du marché des fruits et légumes élaborés attire un nombre croissant d'opérateurs. Je pense en particulier aux spécialistes des produits traiteur qui développent des offres spécifiques. Martinet a lancé une référence de gaspacho courant 2013. Sodebo a quant à lui lancé une gamme de soupes fraîches. La concurrence viendra aussi des industriels de la filière fruits et légumes eux-mêmes, notamment des acteurs étrangers. En fait, les industriels français sont concurrencés par les producteurs européens tels que Ardo ou Crop's. Résultat : les opérateurs français chercheront plus que jamais à échapper à la concurrence par les prix et à mieux valoriser leur production. […]

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