François Hollande a lancé ce jeudi les commémorations du centenaire de la Grande Guerre de 1914-1918. Evoquant les fusillés, François Hollande a demandé qu'une "place leur soit réservée" aux musées des Armées. Une question politiquement sensible, qui concerne les quelque 740 personnes fusillées entre 1914 et 1918 pour désertion, mutinerie, espionnage ou crime de droit commun.