Cinq mois après la condamnation du meurtrier de sa petite fille, violée puis sauvagement assassinée de 17 coups de couteaux, le grand-père d'Agnès Marin remet en cause le travail de l'expert psychiatre. Selon lui, cet expert est responsable de la mort de la jeune fille et devrait par conséquent être radié de la cour d'appel de Montpellier.