Interrogé par un député UMP à l'Assemblée nationale après les divergences exprimées au sein du gouvernement sur la situation des Roms en France, le premier ministre Jean-Marc Ayrault a estimé, mardi 1er octobre en séance de questions d'actualité, qu'il n'y avait "pas de raison d'exacerber toutes ces questions difficiles".
"L'intégration est possible quand on respecte les lois de la République. [...] J'appelle tout le monde au sang froid", a ajouté le premier ministre.