Lors du G20, 12 États ont demandé une réponse forte contre le régime de Bachar El-Assad, puis les 28 États-membres de l'Union européenne ont également rappelé la «nécessité d'une réponse claire et forte» en Syrie. David Assouline salue donc «les efforts du président de la République pour convaincre la communauté internationale de ne pas rester inactive après le crime contre l'humanité» commis par le régime syrien. www.parti-socialiste.fr