Le discours se fait chaque jour plus ferme. Assurant que les preuves du recours à l'arme chimique en Syrie étaient "incontestables", le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a laissé entendre, comme l'ont fait ses alliés depuis l'attaque du mercredi 21 août, que toutes les options étaient sur la table.