La garde des Sceaux, Christiane Taubira, donne une conférence de presse depuis le ministère de la Justice. En raison d'une erreur juridique, qui date de 2004, sur les conditions de prescription des peines, des dizaines voire des centaines de détenus pourraient être libérés. Environ 3.499 personnes condamnées seraient concernées, six ont déjà été libérées.