"Nous sommes inquiets mais plein d'espoir. Il y a eu une mise à plat. Les populations attendent la démocratie", estime Dalil Boubakeur, président du Conseil français du culte musulman, en parlant des pays ayant connu les révolutions du Printemps arabe. Selon lui les nouveaux soulèvements sont dus à l'instauration de "théocraties" dans ces pays.