"Je pense que le problème est beaucoup plus profond que ce simple contrôle d'identité. Il y a aujourd'hui une fracture entre les jeunes des quartiers et les pouvoirs publics ", a déclaré David Gaveriaux, avocat de l'un des prévenus qui ont comparu ce lundi devant le TGI de Versailles après les violences du week-end à Trappes.