Le soleil est si amoureux.
Les nuages me vouent leur tendresse.
L’azur du ciel se montre perplexe.
Les sentiments de mon cœur n’ont jamais été douteux….
Le tonnerre se met à gronder.
Ô mon Dieu, ce ciel serait-il en colère ?
Hélas, la joie est trop éphémère.
Les obstacles de la vie, je dois les surmonter….
Un docteur m’ouvre sa porte.
Ô combien la terre est amoureuse.
Mais mon âme reste anxieuse.
Qu’à jamais, le bonheur me transporte….
Mais le soleil s’impose.
Les fleurs de l’ennui n’existent pas.
Mon Amour, en toi, je crois.
Ensemble humons le parfum des roses….
Les infos du jour sont affreuses.
Je veux qu’un nuage nous transporte très loin.
Notre terre a compris les valeurs du destin.
Que les notes chagrines deviennent ambitieuses !
Maman, je pleure tel un enfant.
Seules les erreurs médicales m’assassinent.
Les louanges du ciel se dessinent.
Même l’océan qu’est ma pensée ne s’y méprend….
Mon tendre Amour, tu le sais.
Je crois toujours vivre des instants de grâce.
Du néant naît la frontière des impasses.
Que le jardin des vérités soit le paysage de la paix !
Jacques
http://jacquescorbehem.hautetfort.com/archive/2013/02/05/la-frontiere-des-impasses.html
