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Arnaud Di Pasquale sur Tsonga "C'était lui le patron aujourd'hui"

2013-06-04 48

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Arnaud Di Pasquale : "c'était un match à sens unique"

Maxime Thiébaut : «Quand vous prenez une branlée, vous êtes décontenancé, c’était le grand patron de la droite nationale, sa stratégie c’est d’essayer d’exister, c’est de survivre, mais Marine Le Pen n’a pas du tout besoin de lui»

Arnaud Benedetti : «Rien n'est fait aujourd'hui (...) mais la tendance aujourd'hui, depuis maintenant le mois de septembre, est en faveur d'une dynamique pour Éric Zemmour»

Philippe Astruc : «L’élève lui aurait dit : ‘’Je suis fille aujourd’hui, j’ai envie de tuer quelqu’un aujourd’hui, j’ai envie de tuer les élèves qui ne m’aiment pas et la personne qui est en face de moi. Cela s’est passé à Arras et je vais faire pareil’’»

François Schneider, procureur d’Alès : «L’un des employés d’une scierie n’a pas salué son patron, qui lui a fait la remarque. Il a sorti son arme de poing et a immédiatement ouvert le feu sur son patron, le tuant»

Richard Ferrand réagit à la mort du député Olivier Dassault : "C'était un homme assez cordial et libre dans le ton, nous lui rendrons l'hommage qui lui est dû"

Alexandre Arcady : «J’ai découvert un comédien qui était à l’écoute, qui avait plaisir à venir sur le plateau. Quand on lui faisait une proposition, il allait même au-delà. C’était un plaisir du jeu et du savoir-faire qu’il avait en lui»

Vincent Roy : «Ce qui est curieux, c’est que le vrai danger, c’était le Rassemblement national, aujourd’hui, l’ultra gauche radicalisé»

Nelly Garnier : «Paris, c’était un ville où on pouvait rentrer la nuit à pied, on ne risquait rien. Aujourd’hui, il y a le retour des viols de rue»

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